mercredi 23 juillet 2014

No tears for the dead


Pas de larmes pour les morts à ce que dit le titre, , mais en fait, pas de larmes du tout,  pour rien,  ni pour personne .... Puisqu'à la vitesse où s'enlignent les cadavres dans le film, il est  évident que le vie  ne  pèse pas lourd et que ça ne vaut  que l'argent que ça rapporte.  Welcome to:   No tears for the dead. 
On pourrait résumer le film bien simplement en disant:   du sang,  en veux-tu , en v'la.  Film qui,   pourtant,  n'a rien d'un film de vampires quoiqu'il y aurait amplement de la  matière là -dedans  pour les intéresser.
  
 Y avait rien de trop dur ou de trop agressif  chez Jan Dong Gun (Gon- l'acteur principal)  pour   se libérer  de trafiquants ex collègues et  employeurs et  pour se déculpabiliser. Bel homme  au regard d'acier et au sang plus froid que froid, il ne laisse rien lui barrer la route. Et  tous les moyens sont bons pour faire son chemin.

 Le prétexte à tout ce branle-bas de violence  lui est offert sur un plateau chargé de souvenirs de son enfance qui lui sont rappelés par la situation de la petite fille qu'il a tuée par erreur. Un peu de  kung- fu,  de die hard assaisonné de beaucoup de rambo et vous voilà à l'essence du film.    Vous en sortez nécessairement épuisés mais arborant un certain sourire tant le film dépasse l'imaginable et le possible. On dit que Lee Jeong Beom est passé maître dans l'art du thriller violent coréen.    I believe it.  






Pour vous mettre le sang à la bouche, en voici un court extrait

http://www.youtube.com/watch?v=ulv5ICaMo6Y

Oh boy fut ma première réaction.  Ma deuxième fut  de me dire que  c'était pas ,mais là pas du tout,   un film pour  coeurs sensibles ou pour enfants.  Tout étant histoire de comparaison, avec le recul, le film Gong-Ju m'apparaît maintenant davantage comme une  histoire à l'eau de rose. No tears for the dead est inconstablement un histoire  de bain de sang.  On dit aussi cela du  prochain et du  dernier film  que nous irons voir dimanche  dans le cadre du festival Fantasia; Seventh Code.  Nous voilà prévenus.

 Après, promis, juré, craché,   j'irai  calmement cueillir des framboises à la campagne en  me répétant pour être certaine de m'en convaincre, que, somme toute,  tout cela n'est que du cinéma.



1 commentaire:

  1. 19 h 26 - 23/7/2014 - Une chance que le héros est beau et qu'il a une machoire d'acier hahahaha!!!!!
    Mimi

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