le cirque est en ville

Faites- moi votre numéro. et je vous dirai si vous êtes de vraies bêtes de cirque.

Ce qu'ils font  tous les jours depuis 3 jours, sans hésiter , se lançant dans les airs, virevoltant comme des papillons  devant le public, défiant   les lois minimales  de la physique au risque de retomber trop rapidement sur terre et de se briser quelque chose.
En les regardant, nous voilà soudainement redevenus enfants: ébahis, soufflés,  figés devant leur prouesses acrobatiques ou   riant aux éclats devant les niaiseries souvent simplistes des clowns.  Le cirque, comme toujours, fascine et pour cause.
Le Québec  s'est mis sur la map, entre autres, avec le cirque. Son école nationale de cirque  (tohu) forme des artistes de haute voltige qui se donnent en spectacle partout à travers le monde et ses grands cirques, (cirque du soleil, le cirque Eloize et les 7 doigts de la main)  font un tabac partout où ils se produisent. En voici quelques images glanées ici et là.

 

Y a rien qui peut empêcher un acrobate qui a le cirque dans l'âme et dans le corps de faire des voltiges, rien qui peut empêcher un équilibriste de marcher sur un  fil  ,non plus pour arrêter les gymnastes  de déambuler  comme de véritables pièces d'un puzzle humaine montées les unes sur les autres.
Montréal a revêtu ses costumes voyants et  colorés et  transformé la rue St-Denis en un grand chapiteau où, à la fin de la journée,  l'on jongle,  se tortionne, s'échafaude  devant un  public fasciné qui s'émeut, s'apeure et applaudit vigoureusement tous ces   artistes qui se donnent en spectacle:  un public , pour quelques minutes ,transporté dans  un monde fantastique et irréel , dans un

                           Montréal complètement viré à l'envers sous l'effet enchanteur  du cirque.