Jane Jacobs walks in Beltline

La nature se meurt, brûléà vif au nord de l'Alberta...

pendant que  la vie  continue dans une quasi quotidienneté  à Calgary.   Comme ses activités récréatives telles  les marches de Jane Jacobs.
D'une certaine façon,   Jane Jacobs marche toujours, bien qu'elle soit décédée depuis 2006,  puisqu' en souvenir de  sa remarquable  influence  en matière de protection de l'environnement de   planification et d' études urbanistes,  des visites de ville sont organisées  un peu partout à travers le monde durant le mois de mai.

Jane Jacobs fut à la fois une activiste, une analyste journaliste et une écrivaine  qui a beaucoup fait pour  protéger et favoriser un développement urbain cohérent et humain,  pour  faire connaître  et mettre en valeur  la réalité citadine.  Elle n'a pas eu peur, en plusieurs occasions, de se positionner publiquement  contre des développements anarchiques ou préjudiciables à la qualité de  la vie urbaine ce qui lui a valu  de faire de la prison.

Des marches de Jane  ont été organisées  à Calgary auxquelles je  participe activement .  Ma première visite fut celle de Beltline, le quartier où je réside.

Beltline    bordé au sud,  par le rail de chemin de fer  de la l0ème avenue, à l'est  par le Victoria park, à l'ouest par  la 14ème rue  et  au sud, par  la 17ème avenue

Le tour de quartier  a commencé à la bibliothèque publique au Mémorial park

s'est poursuivi le long du parc Mémorial

devant le temple maçonnique

les  magnifiques maisons du début du 20ème siècle
 de la 14 ème avenue

 le club privé   inspiré du Saint James Club de Montréal,  le ranchmen private club réservé aux mieux nantis de Calgary,  catalogué comme  le plus vieux et le  prestigieux  club social de l'Ouest canadien et dont les origines remontent aux années l800.

La célèbre maison Loughaed dont je vous ai ,déjà,  plusieurs fois  parlé

 Le collège de Connaught transformé en centre Segal

l'école secondaire  the  Connaught community school

Le tour  de  Beltline s'est terminé  au Good Earth  autour d'un café..... 

Jane devait  se retourner  de frétillement dans sa tombe ,toute heureuse de savoir, qu'à sa mémoire, les gens découvrent des coins de quartiers qu'ils ne connaissaient pas ou qu'ils ne  voyaient plus et  qu'ils profitent de cette occasion pour se rencontrer.  Car ce que voulait , aussi, Jane Jacob c'est que se resserrent les liens entre les citoyens et que se forment des communauté de quartier.