Ce que je veux dire c'est qu'avec le festival des graffitis montréalais, les graffitis changent, se modifient, se graffitisent ou dégrafittisent selon l'inspiration des artistes qui les dessinent et selon la résistance des grafftis face aux dures intempéries du Québec.
La rue Saint-Laurent (la maine) et ses abords offrent les parfaits les décors aux graffitis qui, parfois, s'éclatent pour en mettre plein la vue et, d'autres fois, se cachent dans des coins déserts et sombres du quartier qu'il faut prendre le temps de chercher et de découvrir.
Voici donc une p'tite tournée de la Maine pour vérifier son état graffitien.
Ceux-ci n'ont rien perdu de leur éclat comme si le temps n'avait aucune prise sur leur vibrante beauté, les chanceux..
Ceux-ci essaient du mieux qu'ils peuvent de couvrir la laideur
..
et la saleté qui se cachent dans les ruelles et derrière les maisons de la Maine
J'ai toujours un coup de coeur pour les graffitis qui, comme des oeuvres d'art , enjolivent les mûrs gris de la ville ou pour ceux qui, comme des cicatrices, sont tatouées au vif sur les murs froids, laids, usés et profondément blessés des ruelles de Montréal.
4 h 22 - 2016-04-01 - Pour les premiers grafs j'en ai le souffle coupé. Il y a vraiment de grands graffiteurs à Montréal
RépondreSupprimerMimi