Par un beau samedi du mois d'aout, il s'en passe des choses et il en passe du monde. De tous les genres, de toutes les sortes.
un futur marié qui enterre publiquement sa vie de garçon
une jeune fille qui le pointe du doigt en bleuissant de jalousie
une sculpture -bonbon qui regarde stoïquement la scène
une autre refermée sur elle-même, juchée sur son bâton fort.
un jeu de blocs qui s'illumine le soir venu
Avec la tombée de la nuit, la rue Ste-Catherine du côté du village, se met à grouiller d'une faune diversifiée: de voyeurs, de passants, d' exhibitionnistes,
de chanteurs et de chanteuses
de breakdancers
de filmmakers
Voici la future de l'autre qui, de son côté, se fait aussi enterrer la vie de jeune fille.
La Sainte-Catherine et la Saint-Denis, deux rues au coeur de Montréal où il est facile de s'en mettre plein la vue, de perdre la tête et surtout de se perdre au milieu de la foule estivale qui n'en finit pas de s'éclater, de surprendre et d' amuser.
7 h 46 - 7/08/2014 - Spontanéité voilà ce que je retiens de ces images. Il faut le faire: boucler la boucle du marié et de la mariée.
RépondreSupprimerMimi