La fierté défilait en effet gaiement sur le boulevard René Lévesque. Dans le ciel: un éclairci pour laisser passer la parade
qui se trémoussait aux sons des tambours, de la musique et des applaudissements.
Déjà, avant même qu'elle ne démarre, on se préparait dans le village et les déguisements étaient de mise et bien mis.
et la foule se dirigeait d'un pas allègre, et surtout avec beaucoup d'allégresse vers la boulevard
Allons-y gaiement tout le monde... . puisqu'aujourd'hui c'est la fin de la semaine de la fierté gaie.
Oups voici la parade, tassons-nous pour laisser passer les défileurs et les défileuses
qui en souriant ouvraient le chemin au jeu de drapeaux
à l'armée de casse-noisettes
aux poupées géantes
aux danseurs en ligne : avec ponpons
avec chapeaux de cow-boy . Car au Québec nous avons, nous aussi, une fierté westerne
aux patineurs et sauteurs assez bien enlignés
à du bien beau monde
qui jouait à la vedette, comme notre célèbre Mado,
ou à la poupée japonaise qui, malgré sa traîne, n'était pas à la traîne.
Et à bien d'autre chose dont je vous parlerai dans l' article qui suit: promi, juré, craché, croix sur mon coeur d'harfang.
9 h 12 - 18/8/2014 - Fierté, fierté, fierté quand tu nous tiens. Pour une fois, j'aurais aimé assister au défilé. Beaucoup plus de klassssse. Et Mado Lamothe (assis ou assise dans la décapotable) a maintenant une forte concurrence. J'ai hâte de voir le reste.
RépondreSupprimerMimi