dans le temps ( quand on fait un retour dans le passé)
dans l'imaginaire et imaginaires (quand on laisse aller notre imagination et nos fantaisies)
dans la lune ( quand on rêve tout éveillé mais en réveillant le poète qui sommeille en nous)
les voyages très terre-à-terre
autour du monde (le rêve du harfang)
dans le sud ( pour les snow birds)
dans l'ouest (comme ceux que je fais régulièrement)
dans le monde merveilleux de la musique ..
je vous propose, aujourd'hui en ce 14 août, un voyage de quelques minutes seulement mais des plus touchant en compagnie Danielle Messia qui, tout juste après l'avoir écrite, nous quittait pour l'autre monde. Danielle était née en Israël et n'aurait pas aimé pantoute, mais pas paantoute, voir ce qui s'y passe aujourd'hui.
Je t'écris de la main gauche
Celle qui n'a jamais parlé
Elle hésite, elle est si gauche
Que je l'ai toujours cachée
Je la mettais dans ma poche
Et là, elle broyait du noir
Elle jouait avec les croches
Et s'inventait des histoires
Je t'écris de la main gauche
Celle qui n'a jamais compté
C'est celle qui faisait les fautes
Du moins on l'a raconté
Je m'efforçais de la taire
Pour trouver le droit chemin
Une vie sans grand mystère
Où l'on se donnera la main
Des mots dans la marge étroite
Tous tremblants qui font des dessins
Je me sens si maladroite
Et pourtant je me sens bien
Tiens voilà, c'est ma détresse
Tiens voilà, c'est la vérité
Je n'ai jamais eu d'adresse
Rien qu'une fausse identité
Je t'écris de la main bête
Qui n'a pas le poing serré
Pour la guerre elle n'est pas prête
Pour le pouvoir n'est pas douée
Voilà que je la découvre
Comme un trésor oublié
Une vie que je recouvre
Pour les sentiers égarés
On prend tous la ligne droite
C'est plus court, oh oui, c'est plus court
On voit pas qu'elle est étroite
Qu'il n'y a plus de place pour l'amour
Je voulais dire que je t'aime
Sans espoir et sans regrets
Je voulais dire que je t'aime, t'aime
Parce que ça semble vrai
Celle qui n'a jamais parlé
Elle hésite, elle est si gauche
Que je l'ai toujours cachée
Je la mettais dans ma poche
Et là, elle broyait du noir
Elle jouait avec les croches
Et s'inventait des histoires
Je t'écris de la main gauche
Celle qui n'a jamais compté
C'est celle qui faisait les fautes
Du moins on l'a raconté
Je m'efforçais de la taire
Pour trouver le droit chemin
Une vie sans grand mystère
Où l'on se donnera la main
Des mots dans la marge étroite
Tous tremblants qui font des dessins
Je me sens si maladroite
Et pourtant je me sens bien
Tiens voilà, c'est ma détresse
Tiens voilà, c'est la vérité
Je n'ai jamais eu d'adresse
Rien qu'une fausse identité
Je t'écris de la main bête
Qui n'a pas le poing serré
Pour la guerre elle n'est pas prête
Pour le pouvoir n'est pas douée
Voilà que je la découvre
Comme un trésor oublié
Une vie que je recouvre
Pour les sentiers égarés
On prend tous la ligne droite
C'est plus court, oh oui, c'est plus court
On voit pas qu'elle est étroite
Qu'il n'y a plus de place pour l'amour
Je voulais dire que je t'aime
Sans espoir et sans regrets
Je voulais dire que je t'aime, t'aime
Parce que ça semble vrai
9 h 46 - 15/8/2014 - Je croyais que c'était Barbara qui la chantait. Je ne connais pas cette chanteuse sans doute parce qu'elle est partie trop rapidement. Elle a une voix magnifique. C'est plus mon genre que Vanessa Paradis.
RépondreSupprimerMimi