vendredi 14 septembre 2018

la femme qui a brisé les codes

c'est Elizabeth Smith Friedman (1892- l980)





Elle a brisé les codes  non pas de  comportements,  vestimentaires ou  sociaux,  mais ceux des messages cryptés


Une femme dont le nom vous est probablement t inconnu parce qu'en ces temps-là,  quelles que soient leurs réalisations, les  femmes étaient, généralement,  peu reconnues (surtout si elles étaient issues de classes pauvres comme ce fut le cas d"Elizabeth) . Hoover, le directeur du FBI de l'époque,  a également tout fait pour que son nom soit effacé afin de pouvoir  s'approprier le crédit du travail incroyable qu'elle avait accompli  Hoover s'est révélé  être un véritable  trou du cul   à bien des égards notamment pour  avoir secrètement et illégalement abusé de ses  pouvoirs.




N'eut été des archives qu'elle avait  précieusement et méticuleusement conservées Elizabeth serait tout simplement disparue  de l'histoire sans qu'on  ne connaisse  sa magistrale contribution. N'ayant donc eu aucune reconnaissance de son vivant,   Jason Fagone  a voulu lui  rendre un  peu  hommage en publiant

Elizabethe s'est mariée avec William Friedman avec qui elle travaillait et qui a toujours reconnu chez sa femme une intelligence supérieure à la sienne, un courage et un support indéfectibles  durant  ses périodes de découragement et de faiblesse.





Elizabeth qui avait une formation en littérature,  fut tout d'abord embauchée par le richissime George Fabian pour travailler sur les théories conspirationistes (et oui, elles existaient déjà ) ¨Pendant l'invasion nazi, elle a travaillé pour la US coast guard et parvint par son méticuleux et brillant travail  à résoudre le secret de 3 énigma machines et à décoder une douzaine de circuits de radio, décryptant près de 4,000 messages ce qui a permis de  sauver des milliers de vies..
.." the thrill of your life: the skeleton of words leap out and make you jump"

Selon Fabone: , she intended to use all of her archives to write her own story. She never got around to it. Maybe she lost hope. But the files are exactly where she left them, the fragments of an extraordinary life. The files have a weight to them, a texture. They can’t be erased any more than Elizebeth’s legacy can be erased, because her legacy is embedded in our lives today, in our smartphones and Web browsers, in the science that powers secure-messaging apps used by billions, in the clandestine procedures of corporations and intelligence agencies and in the mundane software loaded onto the iPhones in our pockets.

Une grande femme qui a su décoder  des mystères  et  qui a ompletement et irrémédiablement changé le cours de la science  du décryptage et  modifié par conséquent le cours de l'histoire et   notre vie.

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