et non pas les Moody blues que les babyboomers connaissent bien... Narendra Modi chante une toute autre chanson depuis quelques jours et n'a peut-être pas les blues, mais il est vachement bleu de colère depuis que son parti a perdu sa majorité au Gouvernement qu'il présidait en roi et maître depuis plusieurs années. L'envoyé de Dieu a donc pris une claque sur le coin du turban...
Ses fidèles partisans assurés d'une victoire éclattante, la veille des résultats, fêtaient déjà le triomphe de leur chef (pace que Modi ne représente pas vraiment un parti mais se représente plutôt lui-même). Modi doit être en beau maudit car il devra, dorénavant, partager son pouvoir absolu avec d'autres partis, ce qui doit être assez humiliant pour un envoyé de Dieu reignant , depuis ses débuts, sans partage et de main divine et toujours paré de ses plus beaux et riches costumes.
Le voici dans son habit avec son nom brodé en or
même quand il s'agit de faire le show comme lorsque Modi a inauguré, à Ayodhya, en grande pompe et avec beaucoup d'arrogance ,le temple hindou qui a été construit sur les ruines d'une Mosquée
Il y a le make america great again MAGA de Trump et il y a le make inda proud again MIPA de Modi. Pendant que les riches du pays s'en mettent plein les coffres, les démunis ,eux, peine à survivre... L'économie de Modi a réussi à creuser encore davantage le fossé déjà énorme entre les classes.
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