mardi 26 mai 2020

le pétrole brûle plus

et il est loin de rapporter et de brûler les doigts.   Il brûle d'impatience de retrouver un peu de valeur et surtout un endroit où se déverser..

Parce qu'ironiquement, lui aussi  se retrouve  confiné mais  dans les pétroliers qui ne savent plus où donner du moteur, ne pouvant décharger ce qu'on a déjà appelé l'or noir, mais qui, aujourd'hui, n'est plus de l'or et ne vaut pratiquement rien.

Sur cette carte aérienne...la répartition des   pétroliers qui attendent au coût de 30,000$ par jour, de pouvoir  vider   leur charge... mais qui ne sont pas en mesure de le faire,    les pipelines et les entrepôt  étant, à travers le monde,  pleins à rebord.   Voici où ils sont ancrés...en attendant de pouvoir décharger leur cargaison.




Carte sur laquelle il serait intéressant de  superposer celle de la présence du covirus à travers le monde


Il ya de quoi voir la vie en rouge  ou être rouge de découragement..


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