vendredi 16 janvier 2015

on est loin en mosus de la Russie

du  docteur Zhivago  ou d'Anna karénina.  Faut dire que ces deux films aux histoires tirés de romans russes ont été réalisés en Angleterre.  Le cinéma  vraiment de Russie c'est autre chose.  On dit que le cinéma russe fut longtemps le plus important cinéma européen.   Ce qui reste à me démontrer.

J'ai donc voulu voir ce que c'était ce fameux cinéma russe en écoutant  un film d'action  récent qui a été, à ce qu'on dit, un grand  succès intra muros et qui a même été exporté à travers le monde..Le film?   night  watch.    Une trilogie basée sur un livre de Lukjanenko  réalisé par Berknabetov. Plus russe que ça tu meurs.
Ok, je  vais pas vous laisser sur votre soif de vodka,  je vais passer au vif du sujet et quand je dis vif: I mean it.
Comment résumer l'irrésumable?  Ok je m'essaie et me lance un peu comne le rouble se lance dans le vide  actuellement.
Un film porté sur les  vampires modernes  (comme ceux que vous rencontrez tous les jours quoi!)  Une histoire basée sur la dualité  inévitable entre  deux groupes ( celui des ombres et celui des lumières) qui vivent  dans un monde parallèle mais qui, malheureusement, persistent à envahir le monde réel et à signer dans leur sang.    J'ai pas besoin ,je suppose, d'ajouter que l'on a à faire ici au mal   au bien.  Et à  l'homme qui, comme on le répète dans le film, doit demeurer en tout temps  libre de  choisir son camp.
Du sang  en veux-tu , en v'là  : de quoi remplir l'écran.    de la  violence des tueries, .des fantômes.... en fait, beaucoup trop de tout, ce qui en fait un film difficile à suivre     Voyez par vous-même


 Avec une  pauvre  chouette prise en otage dans le scénario
 
 
 
Ma première tentative cinématographique véritablement russe ne s'est donc pas avérée très concluante (j'ai abandonné au bout de 20 minutes ):   je ne suis donc pas plus qu'avant en mesure de  vous parler du cinéma russe.  Si par un surprenant hasard , vous en êtes un fin connaisseur ou une fine connaisseuse du  répertoire russe,   n'hésitez  surtout pas à venir ajouter votre grain de sel (russe).
 
en attendant                                                dobroye utro

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