que seul l'oeil célestement aiguisé du peintre aurait pu concurrencer
Que veux-tu lion, Montréal c'est aussi cela: la froidure mordante de l'hiver et la chaleur dégoulinante de l'été que le printemps et l'automne tempèrent. Tout cela sous un ciel versatile et changeant selon la température, selon son humeur. Parfois bleu glace ou bleu azur, parfois bleu gris ou bleu ondine, avec des nuages à blanc variable.
Il lui arrive même de devoir faire le trompe-l'oeil pour déconcerter et surtout réconforter les gens qui, par grand froid, ont les blues et ne savent plus où donner de la tuque.
et qui ,en le regardant, peuvent rêver de voyages vers des cieux plus cléments, vers des cieux sans nuages.
19 h 36 - 21/7/2014 - Où ai-je déjà vu cet oeil (troisième ou autre) et ce magnifique oiseau? Je le sais, je le sais, mais je ne me rappelle plus. (Maintenant je suis à jour dans ma lecture, mais je regarderai les photos encore une fois dès que j'aurai une minute.)
RépondreSupprimerMimi .
Margritte lui-même
RépondreSupprimer15 h 14 - 22/7/2014 - Il me semblait aussi.... ma culture est en baisse ces temps-ci. Et petite suggestion tu peux enlever le r à Ma(r)gritte
RépondreSupprimerMimi