j'y vais, je reviens.. J'arpente les rues de Montréal sans faire de vagues ni de sillons.. sans tambour ni trompette..... Avec dans ma poche ma Cannon toujours prête a s'ouvrir, à l'affût de tout ce qu'il y a d'intéressant à voir et que vous ne pouvez voir en personne. Soit parce que vous êtes ailleurs ( physiquement ou dans votre tête), que vous êtes pas ailleurs, mais plutôt coincés dans un quelconque autre ailleurs (maladie, enfants etc) ou que vous ne suivez pas le courant festivalier.
Le harfang a choisi de replier ses aile pendant quelques mois et de faire du sur place... marchant ou joggant... Qui veut voir l'étrange et incongru spectacle d'un harfang en train de jogger n'a, par beau temps, qu'à venir au parc le voir piétiner avec les autres oiseaux rares de la place. C'est pas parce qu'on voyage sur pattes qu'on ne peut pas voler haut. Bien au contraire. Portés par leur imagination, les rêveurs et les artistes voyagent à très haute altitude.
Alors donc, aujourd'hui, un p'tit tour et puis m'en suis revenue des Francopholies. Tout était là, les tentes, les joueurs de musique, les francophiliens.....prêts à tout surtout à attendre toute la journée, s'il le faut, pour assister aux activités qui vont descendre, ce soir, dans la rue.
En attendant les shows, la musique et tout le pataclan: un peu d'impro
sur le piano de rue qui s'est déplacé dans le coin du quartier des spectacles, pour l'été.
Et sur lequel cette jeune fille pianote une toune québécoise......awingna han awingna han...
Les autos affichaient bruyamment leurs couleurs car ici, aussi, le foot on s'en fout pas. Et les gagnants ont la victoire toute aussi ostentatoirement
J'ai profité de l'occasion qui s'offrait au coin d'une rue pour me faire câliner un peu...
câlin que je vous renvoie tout de go......... gentiment et gratuitement
un câlin gros, gros comme un calinours ..... aux couleurs du plaisir, de la tendresse et de l'été
15 h 30 - 18/6/2014 -- Tu as bien fait d'en profiter. Pour une fois qu'il y a quelque chose de gratuit.
RépondreSupprimerMimi