Ce dont je vais vous parler n'a rien à voir avec le jeu de cônes oranges montréalais...que je vous décrirai une autre fois quand il aura été finalisé. Aujourd'hui je vais plutôt vous parler de cônes pas mal plus dangereux.
Il y a bien sûr ces milliers de cônes qui obstruent les rues de la ville mais il y a également d'autres cônes qui vivent dans les eaux du Pacifique, ce sont des cônes mollusques gastéropodes que l'on trouve surtout dans les eaux du Vietnam ou de l'Asie du sud. Et qui, comme les cônes oranges, viennent en plusieurs modèles
voici le cône géographe
le cône maginifique
le cône sriate
le cone textile
Un mollusque qui avance plus lentement qu'un escargot quand il avance puisqu'il n'a nul besoin de se déplacer ou de se presser pour se procurer sa nourriture . Il n 'a qu'à attendre patiemment qu'un poisson passe à proximité, tendre sa longue barre , piquer le poisson qui sera instantanément paralysé sous l'effet des super toxines qui lui auront été injectés, toxines qui s'apparentent à celles du fugu et du venin du cobra. Un venin tellement puissant qu'il peut tuer un homme en deux heures.
un cône orange qu'il faut définitivement éviter.
Autrement dit , les cônes de rue de Montréal ne sont , somme toute, que de la petite bière à coté des cônes marins... S'ils sont câlissement désagréables , ils ne mettent nullement nos vies en danger à moins, évidemement, de vouloir les ignorer et d'entrer sur des chantiers de construction.
Si les cônes marins sont des chasseurs nocturnes redoutables , les cônes oranges ne sont , finalement, que des désagréable obstacles urbains
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