vendredi 8 novembre 2024

de cône en cône

 

Ce dont je vais vous parler n'a rien à voir avec le  jeu de cônes oranges montréalais...que je vous décrirai  une autre fois quand il aura été  finalisé.  Aujourd'hui je vais plutôt vous parler de cônes pas mal plus dangereux.

Il y a bien sûr ces milliers de cônes qui obstruent les rues de la ville mais il y a également d'autres cônes qui vivent dans les eaux du Pacifique,  ce sont des cônes mollusques gastéropodes que l'on trouve  surtout dans les eaux du Vietnam ou de l'Asie du sud.    Et qui, comme les cônes oranges,  viennent en plusieurs modèles

voici le cône  géographe

le cône maginifique



le cône sriate



le cone textile

Un mollusque qui avance plus  lentement qu'un escargot quand il avance puisqu'il n'a nul besoin de se déplacer ou de se presser  pour se procurer sa nourriture  .  Il n 'a qu'à  attendre patiemment qu'un poisson passe à proximité,   tendre sa longue barre  , piquer le poisson qui sera instantanément paralysé sous l'effet des super toxines  qui lui auront été injectés,  toxines qui  s'apparentent à celles du fugu et du venin du cobra.   Un venin tellement puissant qu'il peut tuer un homme en deux heures. 

un cône orange qu'il faut définitivement éviter.

Autrement dit , les cônes de rue de Montréal ne sont , somme toute, que de la petite bière    à coté des cônes marins...  S'ils sont câlissement désagréables , ils ne mettent nullement nos vies en  danger à moins, évidemement, de  vouloir  les ignorer  et d'entrer sur des chantiers  de  construction.

Si les cônes marins sont des chasseurs nocturnes redoutables , les cônes oranges ne sont , finalement, que  des désagréable obstacles urbains





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