mardi 17 avril 2018

le guru d'Oregon



Si vous êtes une ou un adepte  de guru   ou  que vous  faites partie de la génération des  hippies et toujours  accrochés  au bon vieux  temps  du peace in love.... vous connaissez peut-être  déjà Rajaneesh. Si vous ne le  connaissez pas,  vous pouvez écouter le documentaire wild wild Country de netflixe...... ou  vous contenter de lire ce qui suit.

 Bhagwen Shree Rajaneesh (vous l'aurez deviné par le nom)... a vu le jour ou plutôt  la lumière dans le sud de l'Inde à Pune ou Poona



Où il a vécu  une grande partie de sa vie et  où il s'est réfugié quand la marde a finalement pogné dans la commune qu'il avait fondée en 1980   à Antolope en  Orégon



Dans son petit milieu indien  pauvre et rural, le p'tit Bhagwen s'intéressa,  dès son jeune âge, aux religions et de plus près, à la méditation et à l'hypnose .  Il aimait  se faire voir et, encore davantage,  se faire écouter.  ... Il comprit très vite  qu'il y avait des gens pas mal  perdus dans le monde moderne qui cherchaient à  en sortir par tous les moyens (surtout financiers).  Qui étaient à  la recherche d'un guru qui serait lui..

Vers la  vingtaine  il annonca, un beau matin,  l'air de rien,  qu'il avait eu  une illumnation. (en forme de $). Une illumination d'une philosophie  qui pourrait donner du pain à manger à ceux qui avaient faim  et l'espoir d'une vie simple, pleine d'amour (dans tous les sens)  et de partage.

Une  grande commune de 7,000 personnes vit,  donc,  le jour à Antilope qui, grâce à la générosité de ses disciples,  rapporta plus l0 millions par année à Bhagwen: le  Rajaneeshpuram.

 ( 64,229 acres, un hôtel de 160 chambres, un shopping mall....etc..)

Le Rajaneeshpuram n'attirait pas n'importe qui, que ceux eet celles qui  pouvaient se le permettre ,les gens qui avaient un peu ou beaucoup d'argent,  généralement bien éduqués  (20% posssédaient un diplome de 2ème cycle)   en tout cas assez éduqués pour comprenddre ce qu'on pouvait leur enseigner.Quand le ventre crie e t qu'on  doit lutter journalièrement pour sa  seule survie,  on n'a  évidemment pas   beaucoup de temps ou le loisir de  s'interroger sur le sens de sa vie.... qui de toute facon,  n'en a pas.


Dans leur habit rouge, les adeptes rajeneeshiens, ne se possédaient  plus, enscensant  et se garrochant devant  ou dans les bras de notre Baghwen qui, dans sa grande barbe,  riait en se baladant dans l'une de ses 85 rolls royce.
Juasqu'à ce qu'il soit pris à partie, par le gouvernement américain pour détournement de fonds et certains de ses disciples,  pour malversations.


Pour ma part, quand je désire   m'élever au-dessus de ma soit disant vie  misérable (mais tout de même relativement confortable) de  condition de bonne femme  de pays industrialisé et m' échapper momentaément de mon paruvre quotidien parfois  drabe et plat,   je m'inspire tout simplement de ma guru  Mafalda :



aoum aom aoum

1 commentaire:

  1. 10 h 21 - 18-04-2018 - Et tu as raison... Mafalda a toujours des réflexions pertinentes aux situations qui se présentent.
    Mimi

    RépondreSupprimer