jeudi 22 février 2024

perdu dans le grand trou

 C'est un peu ce qui est , récemment , arrivé quand des astronomes  fouillaient patiemment   les profondeurs célestes... Espérant   découvrir  les   secrets profondément enfouis   de l'univers ainsi que le mystère de son origine.

  Le cul bien au chaud  devant notre ordi, nous voyageons  allègrement dans l'espace cybernétique.... sans jamais  pénétrer la face cachée du  dark web. Un peu comme l'est   notre système solaire,  perdu dans un univers beaucoup plus grand et  profondément obscur ,auquel seuls les véritables  connaisseurs  que sont les chercheurs  ont accès. Un  univers sidéral parsemé  de  milliards de lumineuses étoiles qui  éclairent  la nuit profonde des temps. Et de trous noirs comme je l'ai déjà sommairement  expliqué dans quelques-uns de mes blogs sur le sujet sans fond des trous noirs.

Des chercheurs qui  scrutaient  inlassablement  le ciel   avec leurs puissants télescopes en  Asutralie et au Chili  ont  récemment  trouvé un trou noir géant (un quasar) qui serait  le plus gros trou noir à ce jour repéré  ,  situé très très loin de chez nous, à 12  milliards d années lumière ( un année lumière  vaut 9,500 milliards de kilomètres) et qui avait déjà  été aperçu  une  lère fois en l980 .  Il serait , à ce jour, le plus gros trou noir jamais repéré  avec  la plus spectaculaire et énorme combustion jamais vue et qui remonterait à l'origine du monde. .  Une énorme  et aveuglante ampoule  500,000 milliards de fois plus brillante que le soleil.  et qui , en bon trou  noir, engouffrerait les milliards de débris et planètes qui gravitent autour d'elle et qu'elle a attirés  par son incroyable force d'attraction ,  soit   une ingestion équivalente  de 370 soleils par an. Un trou noir monstrueusement  gigantesque  bien au-delà   de toute capacité d'imagination humaine.



Une découverte qui nous permet  de faire, encore une fois,  une toute petite  incursion  dans l' immense espace intersidéral dont la  seule pensée  nous donne  un   profond vertige   et nous  prend à la gorge.   Du genre qui nous rappelle ce qu'on veut  surtout ignorer,  qu'on est bien petit nous sinon rien du tout ,  ni même  une infime  poussière d'étoile, nous  qui nous croyons  le nombril du monde et le centre de l'univers.   Et qui nous employons  à   lentement et lamentablement  détruire notre minuscule sinon insignifiante planète  et à piller ses magnifiques richesses.. C'est à genoux qu'il faut regarder  la plénitude du cosmos,   humblement courbés devant  l'impressionnant et insondable  mystère des profondeurs de l'univers.


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