le sumum du sumo

Une compétition de sumo  se déroule actuellement au Japon, comme à tous les mois impairs de l'année.

Pour voyage aujourd'hui, je vous entraîne dans un  dohyo  pour voir ce qui s'y passe vraiment... Le dohyo est l'arêne oû se tient le combat de sumo.  .  Au centre du dohyo,  un anneau de 4.5 mêtres
délimité par un cercle de pailles de riz... Au-dessus, un toit de style shinmer Zukuri..comme on en retrouve dans les sanctuaires shintos.

Le dohyo est stricement interdit aux femmes, le  sumo étant  un sport exclusivement réservé aux hommes. De toute manière  je connais peu de femmes , sinon aucune,   qui  accepterait de prendre autant de  poids pour pouvoir pratiquer le sumo.  Car, au sumo,  tout est une question de stabilité et d'agilité. Et donc de poids.

Le rikishi, porte pour tout vêtement un mawashi, une bande de tissus de 9 à 14 mêtres, en coton ou en soie , enserrée autour de la taille et l'entrejambe.  En compétition, il y  ajoute  un tablier avec des cordellettes. Sa coiffure, le chonmage,    faite d'huile repose sur un chignon recourbé en pinceau.

Les lutteurs qui s'affrontent peuvent  avoir des poids inégaux le but étant de faire  sortir l'adversaire de l'anneau de riz ou de lui faire toucher le sol avec une autre partie du corps que les pieds. 
Le plus gros sumo de tous les temps (âgé maintenant de 35 ans )  Yamamoto yama , désormais retraité, pesait 584 livres et mesurait  6 pieds 3 pouces

Atteindre ce poids, c'est  tout un sport en soi.


Depuis l990, le recrutement de rikishis se fait de plus en plus  difficile.  Les jeunes éant  de moins en moins intéressés par la vie austêre et difficile de lutteur de sumo.    Plusieurs écoles ou éccuries ont donc  dû  fermer leurs portes.  On comptait , malgré tout,  47 écuries en 2018.  C'est donc un sport qui  n'est pas près de mourir au pays du soleil levant.

Au Japon le sumo c'est le sumun de tout.