Himba .....bway

Je vous niaise.... les Himbas vivent en Afrique,  mais en Afrique du sud en Namibie...

pays  africain qui a obtenu son indépendance en l990.   Qui, malheureusement, fut auparavant une colonie allemande  qui servit de territoire d'exercice pour ce qui devait devenir l'un des plus grand génécide historique, l'holocauste. Ainsi sous la gouverne et la méchanceté de Von Bismark,  plus de 75,000 indigènes furent tués dont l0,000 Namas

et 65,000 Hereros.

 Les himbas firent partie du lot..

Avec les Massais au Kenya et les Pygmés au Congo, les Himbas demeurent une des tribus qui a conservé jusqu'à ce jour, la facon de vivre de leurs ancêtres.  Venus d''Angola au 16 ême siècle, ils ont émigrés vers le sud de l'Afrique vers le l9ème siècle.


Je vous en parle, parce que j'ai vu un captivant documentaire qui exposeait les coutumes particulières des Himbas.  Comme celle des. femmes Himbas ( aussi appelées et pour cause,  les femmes rouges) qui  s'enduisent le corps d'une  teinture rouge  concoctée à partir de  pierres ocres et d"un beurre animal..  Par pure coquetterie d'abord, mais aussi par  utilité, le produit  les protégeant des rayons du soleil et des moustiques,  tout en leur évitant d'avoir à se laver avec de l'eau, celle-ci étant rare sinon pratiquement inexistante  dans le désert où les himbas  habitent.  Elles portent également une coiffure faite de tresses recouvertes de peau  d'animal ornementée d'un panache  en cornes d'animaux.

Les Himbas forment une société très matriarcale.   Le cheptel et les avoir appartenant aux femmes qui les transmettent de génération en générarion.   Les hommes, pour leur part, sont les détenteurs  des pouvoirs spitituels et  des politiques.

A  l'autre bout du monde, les Himbas vivent leur vie namibienne   à leur manière totalement  différente de la vôtre.  Pendant que vous courez après votre souffle , après votre bus,  après vos enfants ou après le bonheur,  ils se la coulent douce, se couvrent de rouge, mangent de la farine ou du milllet avec de l'eau en  écoutant le vent du désert et en regardant le temps passer entre les dunes.  Ce temps qui nous échappe autant que nous échappe leur facon de vivre.