Si vous êtes une ou un adepte de guru ou que vous faites partie de la génération des hippies et toujours accrochés au bon vieux temps du peace in love.... vous connaissez peut-être déjà Rajaneesh. Si vous ne le connaissez pas, vous pouvez écouter le documentaire wild wild Country de netflixe...... ou vous contenter de lire ce qui suit.
Bhagwen Shree Rajaneesh (vous l'aurez deviné par le nom)... a vu le jour ou plutôt la lumière dans le sud de l'Inde à Pune ou Poona
Où il a vécu une grande partie de sa vie et où il s'est réfugié quand la marde a finalement pogné dans la commune qu'il avait fondée en 1980 à Antolope en Orégon
Dans son petit milieu indien pauvre et rural, le p'tit Bhagwen s'intéressa, dès son jeune âge, aux religions et de plus près, à la méditation et à l'hypnose . Il aimait se faire voir et, encore davantage, se faire écouter. ... Il comprit très vite qu'il y avait des gens pas mal perdus dans le monde moderne qui cherchaient à en sortir par tous les moyens (surtout financiers). Qui étaient à la recherche d'un guru qui serait lui..
Vers la vingtaine il annonca, un beau matin, l'air de rien, qu'il avait eu une illumnation. (en forme de $). Une illumination d'une philosophie qui pourrait donner du pain à manger à ceux qui avaient faim et l'espoir d'une vie simple, pleine d'amour (dans tous les sens) et de partage.
Une grande commune de 7,000 personnes vit, donc, le jour à Antilope qui, grâce à la générosité de ses disciples, rapporta plus l0 millions par année à Bhagwen: le Rajaneeshpuram.
( 64,229 acres, un hôtel de 160 chambres, un shopping mall....etc..)
Le Rajaneeshpuram n'attirait pas n'importe qui, que ceux eet celles qui pouvaient se le permettre ,les gens qui avaient un peu ou beaucoup d'argent, généralement bien éduqués (20% posssédaient un diplome de 2ème cycle) en tout cas assez éduqués pour comprenddre ce qu'on pouvait leur enseigner.Quand le ventre crie e t qu'on doit lutter journalièrement pour sa seule survie,
on n'a évidemment pas beaucoup de temps ou le loisir de s'interroger sur le sens de sa vie.... qui de toute facon, n'en a pas.
Dans leur habit rouge, les adeptes rajeneeshiens, ne se possédaient plus, enscensant et se garrochant devant ou dans les bras de notre Baghwen qui, dans sa grande barbe, riait en se baladant dans l'une de ses 85 rolls royce.
Juasqu'à ce qu'il soit pris à partie, par le gouvernement américain pour détournement de fonds et certains de ses disciples, pour malversations.
Pour ma part, quand je désire m'élever au-dessus de ma soit disant vie misérable (mais tout de même relativement confortable) de condition de bonne femme de pays industrialisé et m' échapper momentaément de mon paruvre quotidien parfois drabe et plat, je m'inspire tout simplement de ma guru Mafalda :
aoum aom aoum