M'arrêtant aux stands pour discuter avec les bénévoles
ou pour signer des pétitions..
J'ai également visionné quelques films dont: the apology: three wwII confort women*, de Tiffany Hisung
Un film difficile à regarder, touchant et qu'on met par après, du temps à digérer. L'histoire de ces femmes qui ont servi d'esclaves sexuelles pendant la 2ème guerre mondiale Qui ont vécu leur jeunesse attachées pour assouvir les besoins et les fantasmes brutaux des militaires japonais (de 50 à l00 viols par jour) 30% seulement d'entre elles y ont survécu. Ce film présente le difficile parcours des confort women qui vivent encore (âgées d'environ 90 ans) pour obtenir des excuses de la part du gouvernement japonais.
Comfort Women is the term given to women who were forced by the Japanese to service Imperial soldiers on duty. Many of them were from various Asian nations conquered by the Japanese army, including Korea and China.
J'ai également regardé une série de courts documentaires sur la guerre en Syrie: Refugee stories
19 days
les premiers l9 jour de réfugiés syriens en terre canadienne, à Calgary
9 days
De sa fenêtre d'Alep, un syrien a filmé ce qui se passait dans sa rue transformée en front de bataille
The sniper of Kobani
un tireur d'élite solitaire qui raconte son métier
Refugee blues
un poème sur fonds d'image de réfugiés qui débarquent à Calais
Un festival pas facile parce qu'il nous ramène aux horreurs et aux injustices que certains subissent à travers le monde.... Mais qui nous rappelle que ce n'est surtout pas une raison pour fermer les yeux. Au contraire , la mada loopp festival nous oblige à les ouvrir.
18 h 01 - 2016-11-21 - Est-ce qu'il y en avait sur nos autochtones?
RépondreSupprimerMimi