Selon la définition botanique, une plante est un fruit lorsqu'elle contient les graines de la plante... ou qu'elle provient de la pollinisation du pistil avec des graines....qu'elle est donc le fruit d'une plante.... comme la tomate
La coutume et les pratiques en cuisine définissent également ce qu'est un légume:.. tel est le cas de la tomate..
La tomate serait donc ni un fruit ni un légumes, ou peut-être les deux à la fois. C'est selon. Elle est, par conséquent, un fruit- légume.
Il y a les légumes tige (asperge, rhubarbe), les légumes bulbe ( oignon, carotte) légumes graine (petits pois, fèves) et les légumes tubercule (pomme de terre etc)
la tomate n'a donc pas encore trouvé son camp...
Tout cela pour vous dire qu' il y a quelques semaines, j'ai reçu de gentils amis des tomates dont les graines initiales viennent de France, des cornes de bouc, de tomates à saveur exceptionnelle, juteuses et sucrées à souhait et contenant peu de graines .
Il existe plus de l700 sortes de tomates, qu'on a souvent identifiées en fonction de leur apparence et
de leur forme
d'appellation, de couleur et de chaire différentes
Ce n'est, donc, qu'un très léger aperçu... du monde de la tomate
Pour tenter de clore l'interminable et non concluante discussion quant à savoir si la tomate est un fruit ou un légume, je vais donc, pour ma part, la qualifier de transespèce ou de transgenre. Un nom qui va avec l'air du temps et qui lui confère une originalité particulière..
quel que soit le nom qu'on lui donne, de toute façon , la tomate reste un aliment de choix, qui se prête à presque toutes les sauces , qu'il fait plaisir à regarder et toujours grand plaisir à déguster.
Des pageants où les candidates sont complètement dénaturalisées...et coupées radicalement de leur jeune âge, pour ressembler à des femmes adultes afin de donner un plaisir incommensurable à leurs parents ( règle générale à leurs mères) , qui comme on le sait, ont parfois, sinon souvent, maladivement tendance à projeter sur les enfants les rêves et les aspirations qui leur ont échappés.
L'industrie des concours de beauté pour enfants est une industrie qui rapporte plus de 20 billions par année aux USA. On dénombre chez nos voisins du sud près de 250,000 concours à chaque année (niveaux local, régional et national).... c'est donc une mascarade d'enfants qui vaut son lourd pesant d'argent pour les organisateurs, tout en répondant au besoin compulsivement narcissique de certains parents.
Le ler concours de miss... pour fillettes s'est tenu l921 à Atlancic city....En l960 avait lieu à Miami le ler concours moderne: little miss américa. Devant le nombre ahurissant d'inscriptions (35,000) au concours, on élabora alors un modèle sophistiqué regroupant les concours notamment en fonction de l'âge, de thèmes (glitz, paillettes, naturel, reconstitution historique etc)... Chacun des concours ayant ses propres règles et ses propres exigences. Ainsi pour participer au Concours Giltz... la jeune candidate doit pouvoir effectuer une certaine routine, différents mouvements (sassy walk- pretty feet..etc) et s'affubler (sans aucune restriction) de tout ce qui peut la rendre flamboyante et se démarquer des autres concurrentes: faux cils faux ongles fond de teint, mascara, dents rapportés, perruque, potiches, crème bronzante..... Alors que dans la compétition dite naturelle, le fond de teint est interdit, de même que lip gloss chatoyant et le mascara.
Les prix à gagner? appareils électroniques, jouets, bourses d,études, subventions, diadèmes, robes, trophées.
Les fillettes sont donc littéralement transformées en poupée vivantes...sous l'oeil exigeant et la poigne de leur mère et ce, des l'âge de 2 ans.
Ce qui a, déjà, soulevé beaucoup d'interrogations chez les psychologues et pédiatres qui ont déploré l'hyper sexualisation précoce des petites filles. Le débat, qui depuis s'est émoussé, a particulièrement fait rage après l'assassinat de JonBenet Ramsey en 2013 dont on a jamais réussi à résoudre l'énigme mais qui a soulevé nombre de questions sur les effets (notamment en terme de pédophilie) des concours de beauté chez les petites filles qui y participent.
un monde fou fou... où on ne laisse plus les petites filles jouer avec leurs poupées, mais où on les pousse, dès leur jeune âge, à plutôt se travestir en poupées pour jouer précocement au jeux tordus des adultes..
ce sont les gâteaux et les feuilletés qui sont fourrés par des mains d'experts .. et pas le clients, bien que les patisseries ne soient pas données... mais elles valent leur pesant en calories et en sucre....
je me suis arrêtée à celle de la rue Sherbrooke ouest (Westmount) poussée par une curiosité qui, pour mon malheur, m'a amenée à déguster un......... gâteau aux carottes
car tous ceux et celles qui me connaissent un peu savent que j'ai , pour mon plus grand malheur, un irrésistible voire parfois un incontrôlable penchant pour les gâteaux aux carottes et pour les mille-feuilles.
A la maison de Christian Fauré, on peu bien sûr se délecter de succulentes pâtisseries mais on peut aussi apprendre à les faire. Car la maison est également une école où des MOF (meilleurs ouvriers de France) enseignent aux professionnels et aux amateurs sérieux, donc aux véritables mordus, l'art particulièrement raffiné de la pâtisserie française.
La maison de Westmount
La maison Christian Fauré a ouvert trois comptoirs à Montréal (Vieux montréal Wetmount et Maisonneuve ouest),une école de même qu'une boutique en ligne
https://maisonchristianfaure.ca/en/shop/
Elle est la première école internationale d'enseignement dédiée à la pâtisserie française.. et fait partie du rêve que Christian Fauré poursuit avec passion et ténacité depuis son jeune âge et qui l'a conduit à travailler pour de prestigieuses maisons et royautés à travers le monde.
Christian Fauré a fait sienne la célèbre maxime de Saint-Exupéry
make a life a dream, and the dream, a reality..
Plus facile à dire ou à rêver qu'à faire du moins pour le commun des mortels comme vous et moi..... Difficile mais définitivement pas impossible pour un grand MOF comme Christian Fauré.
L'art n'en finit pas de mûrir et de nourrir l'âme à la galerie l'Art Mûr....qui nous entraîne dans le monde merveilleux , originalement éclaté et surtout sans frontières de l'art moderne.. Pour ceux et celles qui aiment l'art sous toutes ses formes, sous tous ses angles....et quels que soient les média..... la galerie est une mine d'art à découvrir, qui trouve essentiellement le fil de son originalité en suivant l'imagination débordante et bouillonnante des artistes dont elle nous dévoile le talent.
voici ceux qui font partie de sa nouvelle exposition:
le clou de l'exposition: une immense murale qui présente des pièces de tissus noir superbement montées
de l'autre côté du mûr de la raison, il y a la folle créativité des artistes
ne s'est pas fait en wawa.... et le retour à Montréal, ne s'est pas fait, non plus , à cheval
et, de vous à moi, je n'habite pas une cabane au Canada, mais bien le haut d'un duplex En fait je suis allée à Ottawa, en Honda
pour y faire un p'tit tour très rapide puisque tout était pratiquement fermé.... ou lorsque ce n'était pas le cas, fermait très tôt. Le passeport vaccinal n'était pas de mise... mais la distanciation et le masque l'étaient, heureusement... Peu de monde dans les rues par ce beau lundi après-midi.
Mais qui va à Ottawa, la capitale du Canada, va nécessairement vérifier si le parlement canadien tient toujours sur ses vieilles fondations
Devant l'impressionnant bâtiment......le triste rappel d'une malheureuse période de notre histoire: celle des enfants autochtones enlevés à leur famille pour être désamérindienisés
Heureusement que l'appétit vient en mangeant parce que ce macabre rappel de notre lointaine histoire pesait lourd sur le coeur et sur l' estomac...
Parmi les quelques restos ouverts, le whalebone ou en français, l'os de baleine...
au décor qui n'avait rien d'aquatique... ni d'exotique d'ailleurs.. mais , plutôt, quelque chose de sauvagement affligeant
Mais le resto offrait un menu intéressant qui n'avait cependant rien à voir avec l'os de baleine, et tout à voir avec les fruits de mer: à prix qui étaient loin de défier toute concurrence..
voici le ceveche aux pétoncles
les moules
les escalopes de pétoncles
et pour couronner le tout: la tarte à la banane et au miso
On est revenu toujours en Hondo, l'estomac full plein, le jean un peu plus serré et le porte-feuille un peu plus léger.
Ce fut un voyage rapido dans l'bout de la rivière Rideau, non loin de la cabane à Trudeau.
