on l'avait sorti de son cocon ,l'église Notre-Dame de la défense, pour le parader en grande dans les rues des alentours. Et pour cause: c'était le jour de sa fête.
Son cocon
cocon qu'il partage non seulement avec le Seigneur, mais aussi à son grand désespoir , avec la fresque de Mussolini. Pas certaine qu'il apprécie la compagnie. lui qu'on prie pour trouver quelque chose qu'on a perdu. Comme la liberté. Et non pas pour encenser ceux qui la font perdre.
Puis débarqué de son piédestal ambulant pour réintégrant son piédestal églisien. De piédestal en piédestal, Saint-Antoine commençait à avoir son auréole de sainteté un peu fatiguée.
une dernière petite présentation à la foule....... histoire d'en mettre plein les yeux et le coeur, et sa sortie est enfin terminée.... jusqu'à l'an prochain
Oh Saint Antoine, pitié pour votre pauvre pécheresse... qui n'en finit pas de continuer à pécher.
Ayez la bonté de lui rendre la fougue, la santé et la jeunesse qu'elle a perdues.
8 h 17 - 20-06-2018 - Je suis certaine que la fougue, la santé et la jeunesse ne sont pas trop loin...
RépondreSupprimerMimi