L'halloween est malade cette année... mais, malheureusement, pas d'ingestion de bonbons...
lundi 26 octobre 2020
L'halloween en virus
dimanche 25 octobre 2020
vous dites marmoset?
Alors je dis quoi selon vous?... que c'est le plus petit singe au monde... mesurant de 6 à 8 pouces..et qu'il vit au nord ouest du Brésil... quoiqu'il ait eu tendance, au cours des années, à se déplacer dans d'autres régions du pays.
voici le plus petit de tous : le marmoset pygmé en voici d'autres de la même famillejeudi 22 octobre 2020
prendre son trou...noir
Ce serait plutôt l'inverse: se faire prendre par un trou noir.... Celui qui, dans ce cas-ci, n'a strictement rien à voir avec l'image que l'on peut se faire de la dépression ou du désespoir, mais plutôt avec celle que nos astronomes ont de l'univers cosmique.
Un jour que je tentais d'échapper à mon drabe et plat quotidien, je vous ai entraîné dans le mystérieux et tout à fait merveilleux monde inter stellaire et planétaire et parlé des fameux trous noirs https://www.blogger.com/blog/post/edit/4573825473564032925/5906805761465750765
Si vous m'avez suivie, vous savez donc déjà qu'un trou noir est un objet céleste tellement compact, que la force monstrueuse de sa gravité attire et retient tout ce qui l'entoure, empêchant toute matière ou lumière de lui échapper. On ne peut ( forcément) pas observer directement un trou noir (celui-ci étant par définition complètement dans le noir) mais les astronomes peuvent le deviner et le situer à partir de la température colossale qu'il dégage et des objets qui disparaissent quand ils s'en approchent.
Parce qu'un trou noir est extrêmement vorace: il dévore tout ce qui se trouve dans son environnement, qu'il digère après les avoir attirer dans son sombre repère.
Le premier trou noir jamais repéré à partir de ses effets de gravitation fut le M 87 en 2019.
Le plus énorme est le J2157 qui peut engloutir l'équivalent d'un soleil par jour... 34 milliards de fois plus gros que le soleil et possèdant un appétit insatiable. Heureusement pour notre planète, qu'il pourrait ingurgiter comme un bouchée de pain si on peut dire, il se situe à 700 millions d'années lumière de notre terre. De plus, son trou gourmand sans fond fait qu'au fur et à mesure qu'il bouffe, il continue de grandir et de grossir à vitesse grand V. . prenant des proportions de plus en plus effrayantes.
Les tours noirs émettent des pulsars ou des signaux qui, généralement, diminuent avec le temps ce qui n'est, cependant, pas le cas pour ceux du J2157 qui n'ont pas faiblis depuis que le trou a été repéré en 2018.. Ces pulsations seraient produites par une oscillation d'une partie du disque sous l'effet de contractions et de dilatations... Ce que des scientifiques plus romantiques (ce qui n'est nullement incompatible) ont assimilés à des battements de coeur..... Les trous noirs ont donc du coeur tout en étant monstrueusement boulimiques.
Juste pour vous mélanger et surtout vous sortir quelques minutes du monde infiniment petit et complètement déstabilisant du covid19 , il existerait aussi des trous blancs et des trous de vers. Ces derniers n'ont pas été observés directement mais ont été théoriquement élaborés pour expliquer des phénomènes qui se produisent dans la galaxie. Phénomènes dont je vous parler un prochain jour avant que je n'oublie... et que j'aie des trous de mémoire.
Si jamais nous nous mettons à la recherche d'une autre planète après avoir bien amochée la nôtre,vaudrait mieux ne pas trop nous éloigner et essayer vraiment de trouver une galaxie près de chez nous... et entretemps, savoir en rire.
En attendant, je vais tenter de suivre les élans de mon coeur qui, comme le vôtre et sans le savoir , depuis des années, bat au rythme de l'univers et de celui de ses énigmatiques trous noirs..
mardi 20 octobre 2020
les feuilles mortes se ramassent
et oui à la pelle... devant chez moi...dans mon jardin... elles tombent, elles tombent...
elles laissent même leurs empreintes sur les pavés....
dimanche 18 octobre 2020
world ordinary life animal
Y a ceux qui, comme Sergey, se spécialisent et réalisent de superbes photos d'animaux qui vivent dans la nature sauvage, (world wild life animals )
et il y a des amatrices, comme moi, qui ne sont spécialisées dans rien et qui se contentent de prendre en portrait les animaux de sa vie très ordinaire et très quotidienne ( world ordinary life animals).... comme
y a définitivement pas de quoi gagner un prix d'envergure mais y a de quoi s'amuser et sourire ce qui vaut tous les prix du monde..
samedi 17 octobre 2020
pas peur pantoute des ours
Ni des tigres, ni des lynxs.... peur de rien..
Sergey Gorshkov est même un peu trompe la mort ou trompe le risque .. Il vient de remporter le prestigieux prix britannique de la meilleure photo animale sauvage...de l'année 2020. Le voici en Antartique...lorsqu'il n'est pas ailleurs sur la planète à la recherche du moment merveilleux qu' il immortalisera dans une photo...... rencontre qu'il est prêt à attendre avec une patience non pas d'ange mais d'animal qui n'a d'égale que son talentueux coup d'oeil... La photo gagnante a été captée après ll mois...d'observation.....
Voici l'homme
Sergy est connu depuis longtemps pour ses magnifiques chef d'oeuvres photographiques qui ont fait et font le tour du monde Lui-même de l'espèce des animaux sauvage: un ours solitaire qui parcourt la planète à la recherche de l'instant magique.. .. Voici quelques une de ses remarquables photos
Such perfection doesn't come easily: To capture this instant, Mr. Gorshkov spent two months on remote Wrangel Island, in the Arctic Ocean, where a million snow geese gather each May. His photograph and dozens of others in 'Wildlife Photographer of the Year: Portfolio 22' (Natural History Museum London, 160 pages, $39.95),testify to the importance of patience in this discipline. It is a craft honed by a lifetime spent in the wild, simply learning to look'. The Wall Street Journal Online, 13 February 2013
Ca vous en dit pas mal long sur le caractère de Sergey qui a réussi grâce à son talent artistique et sa prodigieuse détermination à produire parmi les plus belles images de la vie sauvage de notre planète..
Pour satisfaire votre insatiable curiosité, voici la photo gagnante du prestigieux concours Wildlife photography 2020
j'aimerais bien non pas qu'un tigre, mais qu'un homme au tempérament aussi fougeux et amoureux m'enlace avec un tel bonheur et une même passion: un instant magique de pur apothéose
Heureusement qu'il y des photographes comme Sergey pour nous dévoiler la beauté d'une nature qui, autrement , et du divan de notre salon, nous échapperait complètement.